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Pépère le chat du poète. Suite. 02 décembre

#1
Le Ministre était toujours à la brasserie et décida d'aller vers le canal. Il devait informer les gens que le barbecue allait être reporté au lendemain, car le Pépère devait remonter d'urgence sur Paris pour gérer un conflit. Il n'avait toujours pas de réponse du Pépère, ce qui était normal, car il était toujours à la cabane avec la bande et le réseau ne passait pas. L'homme se sentait totalement anéanti. La population était devenue folle et il fallait trouver un remède à cette aliénation collective. Malgré ses nombreuses recherches sur internet, il ne vit aucune évasion en masse d'un hôpital psychiatrique. Que se passait-il donc, peut-être un nouveau virus. Il arriva vers le canal et vit les pompiers. Bon, se dit-il, les belligérants sont déjà là ? Que font-ils sur l'estrade. Il partit voir en courant la cravate prise dans le vent. C'est Mike qui le reçut aux pieds de la scène en lui barrant le passage.
- Que se passe-t-il mon père ? Que font les pompiers quelqu'un s'est blessé ?
- Oui, figurez-vous que le vieux rhinocéros a voulu établir une connexion avec le ciel en branchant son MP3. Le résultat n'a pas été celui qu'il espérait. Il s'est ramassé une décharge de 380 volts dans le museau et son aube a fini en guenilles et il a un nouveau broaching pour l'hiver. Le malhereux, c'est même retrouvé avec son os ventral au bord de l'asphyxie, il était tout bleu.
- C'est une mauvaise nouvelle pour moi, et une de plus. Quand, je pense que j'ai chanté, du j'aime ta maman, avec lui, il y a une heure et qu'il a failli mourir comme ça, je n'en reviens pas. Figurez-vous que moi aussi, j'ai une autre nouvelle. Le barbecue va être compromis, car il se passe des choses graves à Paris et Pépère doit aller s'en occuper.
- Ha bon, quelle histoire, qui sont ces troubles fêtes ?
- Un groupe de mécontents qui proteste contre l'augmentation d'un aliment qui a prit deux centimes en dix ans. Seul Pépère pourra gérer la situation.
Pendant ce temps, les soignants s'occupaient du pape qui revenait à lui tout doucement. Les hommes appelèrent Mike qui les avait prévenus pour savoir si l'on pouvait apporter des habits propres. Les soigneurs, assurèrent que l'homme allait s'en tirer sans séquelles mise à part que ses cheveux resteraient violets.
De l'autre côté du canal, Toublanc ne lâchait pas son téléphone des yeux et la fée se demandait bien ce qu'il faisait.
- Tu ne m'as pas dit mon gentil minet où, tu voulais aller ?
- Il va falloir, que je monte vers Paris pour une rencontre importante. Savez-vous si Pépère va aller là-bas ?
- Écoute mon loulou, Pépère doit rencontrer le président de la République. Je t'emmènerai là-bas avec ma magie alors.
À la cabane, c'était la joie et l'étonnement. Pépère venait de leur annoncer qu'il allait voir monsieur Macron. Il parlait actuellement avec le Premier ministre par SMS. Malheureusement, il n'y avait pas de réseau et il ne pouvait pas lui dire qu'il désirait y aller avec Lolo et Turbo. Momo était arrivé avec l'aide de sœur Mathilde à ramener la valise jusqu'à la voiture à Pépère. Celui-ci avait contrôlé son contenu et il était satisfait tout y était. Momo décida de rentrer, car il voulait revoir au plus vite son habitation et par la même, Bouillette, Mimine, et savoir enfin qui était ce petit chat. Lolo et Sybage partirent juste derrière Momo en direction du terrain du poète ou Pépère devait récupérer Lolo. Coin-coin et Pêcheur suivirent derrière eux. Du coup le super-héros qui n'avait fait que d'écoper les résidus des toilette resta seul avec, l'homme, sœur Mathilde, fripouille, et turbo, qui n'avait pas assisté à ce qui s'était passé dans la cabane. L'homme regarda Pépère et lui dit.
- C'est vous qui sentez aussi mauvais ? On dirait un mélange de caca de chien, humain et de boue ! Comment se sont passés les choses dans la cabane personne n'en a parlé ?
- Cette odeur, je vais vous expliquer comment les choses se sont déroulées. Momo à gardé l'entrée de la maison. Moi avec ma force surnaturelle, je suis passé à travers la porte sans aucun dommage. Le chat bandit ayant entendu le bruit est venu en courant. Il a saisi un fusil pour me menacer. Moi, avec courage, comme j'ai déjà fait preuve en Irak où lors du onze septembre, je lui ai sauté dessus. Avec mes moustaches, j'ai coupé le canon du fusil. Le bandit alors surpris a saisi une grenade que j'ai broyée et réduit en poussière et donc qui n'a pas explosée. Il a ensuite saisi un couteau et je l'ai cassé avec ma queue. Se voyant sans défense, il est parti par le conduit de la cheminée. Je ne l'ai pas poursuivi, car je devais délivrer Sybage. J'ai donc été voir la minette qui était solidement attachée au lit. Avec la seule force de mes dents, j'ai coupé la chaîne, ensuite avec mes pattes ultras puissantes, j'ai écrasé le cadenas comme un vulgaire moustique. Voilà, pour ce qui est de l'odeur, c'est assez simple. Quand, j'ai cassé le fusil du bandit, j'étais le dos aux toilettes et la partie cassée est tombée sur la lunette qui s'est fendue et j'ai reçu le contenu sur mon dos. Mais rassurez vous à l'aide d'un linge propre, je me suis parfaitement nettoyé. D'ailleurs, voyez mes Nike, elles sont propres comme un camion tout neuf. Bon ce n'est pas tout ça, j'ai rendez-vous avec le président à l'élysée. Il se passe des choses graves, que pouvons-nous faire.

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